Selon les experts, entre 80 et 97 % des nouveaux produits échouent lors de leur phase de lancement. La faute à qui ? En partie aux études quantitatives et qualitatives qui génèrent des résultats erronés (les consommateurs n’étant pas conscient de toutes les décisions qu’ils prennent ou ne les assumant pas lors d’un sondage). C’est pourquoi les marketeurs tentent de trouver la riposte aux études traditionnelles. Au cœur de plusieurs polémiques, le NeuroMarketing semble représenter cette alternative idéale et rationnelle puisqu’il permet d’accéder directement au cerveau des consommateurs…
Source et suite de l’article : Neuromarketing en 5 questions