Pour mesurer une tendance à grande échelle, il faut avant tout de très nombreux utilisateurs et qu’ils aient la possibilité de s’exprimer… Un point de vue, une préoccupation, une mode, un goût : multipliés par plusieurs centaines de millions d’internautes, il devient possible de mesurer n’importe quelle aspiration collective. Tout cela, Google et Facebook l’ont évidemment bien compris.
Entre le projet du Bonheur National Brut visant à mettre en évidence les fluctuations d’humeur des utilisateurs du réseau social, la SémioMétrie recueillant la charge affective (positive ou négative) ou encore l’analyse de la situation amoureuse, il est probable que les réseaux sociaux et les moteurs de recherche renforceront leur statut de thermomètre des tendances sociales…
Source et article complet : [statosphere.fr]