Google a un problème d’image – pas un problème de relations publiques, c’est-à-dire pas un problème avec le public, mais un problème avec la presse, avec le cœur des pleureuses des vieux médias. Google essaie dur – trop dur peut-être – de ne pas se mettre à dos les gens qui achètent encore de l’encre au baril. Google leur fait acheter moins de barils. Et les journaux utiliseront les dernières gouttes de leur encre pour se plaindre du succès de Google et essayer de le rendre responsable pour leurs propres fautes plutôt que de changer leur modèle d’activité.
Que devrait faire Google ? Je pense qu’il a besoin de devenir le meilleur ami de l’information.
Cette semaine, j’ai dénoncé le sectarisme du New York Times vis-à-vis de l’Internet. Cette fois, c’est le tour des médias français vis-à-vis de Google…
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