Évidemment, on n’en sait rien, on ne peut que supposer. Supposer que les gens qui passent leur temps à réfléchir à la manière d’influencer ou d’empêcher la réflexion des autres vont aller puiser dans tel ou tel vivier pour optimiser leur travail. Quand l’écoute, même attentive, du consommateur ne suffira plus, quand les belles images, les démonstrations et les témoignages ne seront qu’un début, comment les « marques » obtiendront-elles un comportement favorable à la réalisation de leurs objectifs ?
D’abord, ce moment de rupture arrivera-t-il ? « LA » consommation sera-t-elle un jour suffisamment érodée pour que demain soit vraiment un autre jour ? Oui, mais non…
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