Il y’a une dizaine d’années, une des méthodes les plus répandues pour vérifier qu’un visiteur qui prétendait être Googlebot était bien un bot de la firme de Mountain View consistait à se fier à des plages d’IP plus ou moins officielles correspondant à Google.
Le problème avec cette méthode, c’est qu’elle n’était pas fiable à 100% : beaucoup de sites qui pratiquaient le cloaking l’ont appris à leurs dépens.
L'article Google communique (enfin) la liste officielle des IP de Googlebot a été publié sur secrets2moteurs.com