L’une écoute les consommateurs, l’autre leur vend produits ou services : les professions des études et du marketing direct sont opposées. Et l’intrusion du marketing direct dans les études nuit à l’ensemble du marketing. Le coup de gueule de François Laurent.
Dans le monde physique, les magasins décor(ai)ent leurs vitrine pour attirer le chaland, distribu(ai)ent catalogues et prospectus, coll(ai)ent des affiches, expédi(ai)ent des courriers à leurs clients et prospects – une activité souvent très coûteuse et parfois peu rentable, en cas de fichiers de moindre qualité.
Dans le monde virtuel, il en va différemment parce que tous luttent pour occuper massivement un écran de 15 à 17 pouces – tout se passe désormais au même endroit : mails, pop up, display, réseaux sociaux, etc.
Source et article complet : [e-marketing.fr]