Les publicitaires et les grands annonceurs s’affolent : à partir de ce mardi, Google permet à une marque d’acheter comme mot-clé le nom d’une concurrente, pour attirer les internautes. Les professionnels craignent d’avoir à dépenser des millions pour se protéger des coups tordus. Google assure que le droit lui donne raison.
Les nouvelles règles du jeu résultent en effet d’une décision de justice. Le 23 mars, la Cour de justice de l’Union européenne a donné tort à Vuitton, qui accusait Google d’encourager la contrefaçon. En tapant « Vuitton », l’internaute voyait apparaître des pubs proposant d’acheter des copies. Le mot-clé avait été acheté aux enchères sur AdWords, le service de Google permettant de créer des liens publicitaires.
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