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C'est un fait, Linkedin et les sites de networking professionnel sont de plus en plus utilisés à des fins de recrutement. Dès lors, il devient important de s'assurer d'être trouvé facilement.
Disposant d'un peu plus de temps en ce mois d'aout, je me suis livré avec mes collègues à un peu d'ingénierie inverse sur Linkedin. L'étude du moteur est assez simple, puisque ses résultats sont mis à jour en temps réel, ce qui facilite les tests. Le moteur de recherche Linkedin s'avère finalement des plus basique : ce sont en fait les profils affichant le plus grand nombre d'occurences de l'expression recherchée qui ressortent en premier, avec un poids semble-t-il légèrement plus fort donné au nom du profil. Pour être visible sur une expression donnée, il suffit donc d'employer celle-ci un peu plus que ses concurrents. Et ça marche ;)
Ce blog bénéficiant d'une certaine visibilité, je reçois plus ou moins régulièrement des emails de webmasters ou d'étudiants me questionnant sur les compétences à posséder pour devenir référenceur. Ma réponse, plutôt synthétique, ressemble en général à ça.
L'idée d'un inventaire plus poussé des connaissances liés au métier a cependant fait son chemin, et après quelques heures d'intense introspection, je suis finalement arrivé à ceci (nécessite le plugin Flash).
Cette carte heuristique (ou mindmap) a été crée à l'aide du logiciel Freemind. Pour déplacer la carte, cliquez simplement et faites glisser votre souris. Pour zoomer ou dezoomer, utilisez la molette. Les flèches rouges indiquent un lien externe relatif à l'élément séléctionné. Il vous est également possible de réduire ou développer les branches en cliquant sur les noeuds.
(Note : dans Internet Explorer, le focus tend à rester sur le lien cliqué, ce qui fait que la carte "colle" au curseur. Si c'est le cas, jouez avec le zoom via la molette et cliquez sur une zone vide)
Sébastien Billard évoquait il y a deux jours une nouvelle syntaxe pour identifier les pages en résultats complémentaires. Il se pourrait bien que cette syntaxe devienne obsolète à son tour : Google vient en effet d'annoncer sur son blog que la distinction entre les pages issues de l'index principal et celles issues de l'index complémentaire était de plus en plus ténue, et qu'en conséquence l'affichage de la mention "résultats complémentaires" n'avait plus raison d'être.
Apparus en 2003, les résultats complémentaires concernaient à l'origine des pages à faible PageRank, ou possédant des URLs complexes. Ces pages constituaient un index de secours dans lequel Google allait chercher pour les requêtes générant peu de résultats. Avec l'amélioration de son infrastructure, la fraîcheur, la qualité et la taille de l'index complémentaire se sont grandement améliorées, d'où la décision d'abandonner la mention "résultat complémentaire". Matt Cutts avait d'ailleurs sous-entendu dès janvier 2007 cette évolution en commentaire d'un de ses billets : "a page that's a supplemental result now may well get more traffic in the future than it gets right now. Personally, I am a fan of dropping the label supplemental results".